« Comme une maladie »
Mais qu'elle maladie, quand j'ai compris en un soupir, que rien ne serai, jamais plus comme avant...
Mais qu'elle maladresse, d'avoir donné tant de tendresse.
Je te vois, tu me prend, tu me tiens, tu me laisse.
Je vais regarder la vie...
Je serai ton ombre ta mélancolie.
Crois-tu qu'un jour je t'oublierai ? Jamais. Pas même le temps d'un regret.
Mais regarde moi, vois comme je lutte. J'imagine que rien n'arrivera, j'imagine le réconfort dans tes bras.
Mais regarde nous, plus l'ombre d'un doute. Je vois bien que tu n'aimes que toi, que tu n'aimes que toi.
Mais de qu'elle maladie, me parles-tu je ne comprend pas.
Mon coeur se rédit, quand tu es loin de moi.
Et loin de mon pays, c'est fou comme les amius me manquent.
Le temps passe, plus rien n'a de sens.
Et si l'on prenait les trains de nuit ?
On s'en va on s'en va réveiller l'envie.
Crois-tu qu'un jour je t'oublierai ? Jamais. Pas même le temps d'un regret.
Mais regarde moi, vois comme je lutte. J'imagine que rien n'arrivera, j'imagine le réconfort dans tes bras.
Mais regarde nous, plus l'ombre d'un doute. Je vois bien que tu n'aimes que toi, que tu n'aimes que toi.
Mais cette maladie, que j'ai croisé dans ton sourire. Ne sera jamais plus qu'un souvenir...